S’ils peuvent accepter qu’un politicien ait déjà eu un problème d’alcool ou de consommation de drogue, les Canadiens affichent une tolérance zéro pour les fraudes ou les délits économiques commis par leurs élus.
Pour en savoir plus long sur la tolérance des Canadiens à l’égard des fautes que peuvent commettre leurs politiciens, Léger Marketing a soumis à 1547 Canadiens différents « péchés » et leur a demandé dans quelle mesure ils pourraient influencer leur intention de vote si ceux-ci mettaient leur candidat préféré en cause.