Quel est le niveau de bonheur des Québécois? Quelles sont les villes où l’indice de bonheur est le plus élevé et comment l’améliorer? Du 31 mars au 13 avril 2025, nous avons mené une enquête en ligne auprès de 39 841 Canadien·ne·s, dont 19 895 Québécois·e·s âgé·e·s de 18 ans et plus, parlant français ou anglais.
Ce rapport donne un aperçu du bonheur tel qu’il est perçu par les citoyens canadiens. Basé sur un large échantillon représentatif, il met en lumière les dynamiques régionales, générationnelles et sociales qui façonnent le bien-être en 2025. Téléchargez le rapport complet pour découvrir tous les résultats de l’Indice du bonheur de Léger.
Portrait clair : l’indice de bonheur plus élevé au Québec
En obtenant une moyenne de 72,4 sur 100, le Québec se hisse au premier rang des provinces canadiennes, loin devant la moyenne nationale fixée à 68,7 sur 100.
Faits saillants sur le niveau de bonheur au Québec :
- 54% disent que leur niveau de bonheur est resté le même.
- 22% des répondants mentionnent que leur niveau de bonheur s’est détérioré.
- 24% expriment que leur niveau de bonheur s’est amélioré.
Les villes moyennes se démarquent
Parmi les 50 municipalités mesurées, ce sont les villes de taille moyenne qui obtiennent un indice de bonheur plus élevé. En effet, Saint-Augustin-de-Desmaures, Mont-Saint-Hilaire et Blainville arrivent en tête de liste.
Deux grandes villes canadiennes s’en sortent bien
Parmi les 10 plus grandes villes du Canada, seules Mississauga et Montréal dépassent la moyenne nationale de l’indice de bonheur.
Méthodologie
Cette étude est basée sur un sondage en ligne réalisé auprès de 39 841 Canadien·ne·s, dont 19 895 Québécois·e·s âgé·e·s de 18 ans et plus, parlant français ou anglais. Les données ont été recueillies par LEO, le panel en ligne exclusif de Léger, entre le 31 mars et le 13 avril 2025. Bien qu’il ne soit pas possible de calculer une marge d’erreur pour un échantillon Web non probabiliste, à des fins de comparaison, un échantillon probabiliste de la même taille aurait une marge d’erreur maximale de ±0,33 %, 19 fois sur 20. Pour le Québec, la marge d’erreur maximale pour un échantillon de 19 895 répondants est de ±0,44 %, 19 fois sur 20. Les résultats ont été pondérés en fonction du sexe, de l’âge et de la province afin de garantir qu’ils sont représentatifs de la population canadienne.